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 Test grandeur nature de BounceBully

Dans le cadre de mes expérientations pour découvrir si les spammeurs maintiennent à jour leurs fichiers, je vais utiliser le produit gratuit BounceBully.

Il a l’avantage de pouvoir fonctionner hors du client de messagerie, par un simple « drag n drop » des mails à rejeter.

Pour mon test, je vais utiliser une de mes adresses emails recevant un volume d’une quinzaine de spams par jour.

J’espèrais pouvoir utiliser  le client Thunderbird, mais BounceBully n’est pas compatible.  Mes tests se feront donc avec MS-Oulook.

Petite info pour les utilisateur de KIS2009: la désactivation des options de filtrage de courriers indésirables de Outook semple désactiver l’antispam de Kaspersky…

Installation de BounceBully

On lance simplement l’exécutable téléchargé

 Personnelllement, je n’aime pas avoir plein de tuc dans la barre de lancement rapide

 

 La fin de l’installation est tout à fait classique

A la lecture du blog Raymond CC, j’ai été amusé par un article sur les moyens de lutter contre les spams. Un internaute cherchait un moyen de rendre la monnaie de leur pièce aux spammers en leur retournant leurs propres envois.

L’idée est vraiment séduisante, et malheureusement très difficile à réaliser. (Pour en savoir plus, reportez vous à l’article)

En complément, Raymond propose en complément des logiciels permettant d’envoyer de « bouncer » ces mails indésirables.

Le principe du « bouncing » est simple, à priori, renvoyer une notification d’erreur aux mails illégitimes dans l’espoir de spammer les spammeurs et de se faire désinscrire de leurs listes.

L’hypothèse que les spammeurs tiennent à jour leur liste de diffusion me laissant un peu perplexe, j’ai décider de me faire ma propre opinion en essayant l’un des logiciels proposés: Bounce bully

Est ce que l’utilisation  de ce produit va faire baisser le nombre de spams?

La suite dans des articles à venir…

Par delà ce que j’écris ici, je persiste à dire que les solutions antispams sur « serveur » sont plus viables que les solutions sur « clients ».