C’est par cette affirmation que Edouard LAUNET (dans « Au fond du labo à gauche », Points) commence son récit des travaux de chercheurs suédois.
En ces temps difficiles (ma génération doute de plus en plus de temps facile), cette affirmation a de quoi inquiéter. Serait ce la justification ultime à l’obsession de l’état à confondre « solution au chômage » et « radiation des listes de l’ANPE des chômeurs »?
En fait ces travaux ont montré que sur la population de Stockolm des années 90, les jeunes de 20 à 24 ans vivant dans les quartiers avec un fort taux de chômage connaissaient des périodes de non-emploi plus longue que ceux vivant dans les quartiers plus favorisés.
On ne s’en serait pas douté!
Je vous laisse lire cette article si vous voulez des détails. Ecrivez moi si vous trouvez une justification à ces travaux (autre qu’un moyen d’occuper les longues soirées des encore plus longs hivers nordiques)